PEINTURES

 

ISABELLE FAIVRE

 

Après plus d’une décennie à oeuvrer dans le monde du cinéma d’animation,

Isabelle troque son crayon de papier contre le bistouri !!!!

Passant du même coup de la 2D à la 3D en découvrant l’objet-livre et la technique de la reliure traditionnelle.

Défier les équilibres élémentaires du volume ne lui fait pas peur. Avec jubilation, délicatesse et exubérance, elle invente un monde insolite, sculptant, ciselant, reliant, découpant à nouveau un foisonnement de formes extravagantes débordant de livres ouverts.

Avec malice, elle aime aussi détourner des objets, débusquant des cachettes où dissimuler textes, haïkus ou proverbes.

Isabelle parvient à faire apparaitre les mondes imaginaires enfouis en chacun

d’entres nous.

Ses oeuvres sont visibles dans de nombreux de lieux institutionnels.

 


SCULPTURES

 ANNETTE JALILOVA

 

 Annette Jalilova a choisi de transmettre des mouvements de l’âme, des émotions vécues, des sensations pures qui ne s’intellectualisent pas mais qui se vivent au travers de l’harmonie des volumes dans l’espace. La sculpture est son seul vocabulaire, elle est son moyen pour exprimer ce que tout être humain a en lui de profond et de sacré. Une de ses sources d’inspiration reste la figure humaine car elle permet une infinie liberté des formes et qu’elle suscite nos émotions à travers nos sens. L’Artiste donne au corps féminin une dynamique et un galbe d’une perfection étonnante. Ses sculptures suscitent une émotion secrète qui vous donne l’envie irrésistible de caresser ces corps. Annette Jalilova se perçoit maillon d’une longue chaîne d’artistes, héritiers d’un savoir faire parmi lesquels ses Maîtres : Arp, Archipenko, Lobo, Brancusi et évidemment Henry Moore.

 

Elle se lance, de tout son corps, suivant ses impulsions, puis élaborant, à force de travail, son concept, avec le matériau qu’elle a choisi, de la terre qu’ elle modèle, précise, avant de la poncer des heures et d’y appliquer ses patines personnelles, tout à la main.

…..Or Annette Jalilova connaît la fragilité du fil qui permet à une œuvre d’être vraie, proche au point de venir posséder celui qui la regarde, la caresse : il y a une véritable difficulté d’avancer sans casser l’émotion…

 

(Molly Mine – Paris Capital)